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Réalisation de trois fresques collectives dans le cadre d’ « Extra!» au Studio 13/16, Centre Pompidou. Chaque panneau mesure 1,50 m de haut.

Lors de cette résidence, j’ai proposé de réaliser trois fresques avec les visiteurs. Ces fresques reprennent trois tapisseries de la fameuse tenture «La Dame à la Licorne». Les tapisseries sont réinterprétées dans des matériaux propres à ma pratique: les pâtes alimentaires et les petits soldats. Chaque participant est invité à y laisser sa marque en signant la trace de son passage, faisant de ces fresques des oeuvres collectives.

 

Avec le soutien de l’Espace Culturel Louis Vuitton 

 

Installations participatives:

 

Lors de deux manifestations, j’ai proposé des oeuvres participatives permettant au public d’avoir une part active dans la vie d’une oeuvre, que ce soit lors de sa diffusion ou de sa création.

 

«Les Oiseaux de passage» offrent au public de s’emparer des oiseaux, participant ainsi à la désagrégation de l’installation initiale pour ensuite perpétuer l’oeuvre en les faisant voyager. Un peu plus de 6 mois après que l’installation a été réalisée, je reçois encore des photos d’oiseaux que je collecte et qui sont publiées sur un blog, accompagnées des commentaires laissés par les auteurs des photos.

 

« Fresques » est une proposition d’oeuvre collective réalisée dans le cadre d’ « Extra! » au Studio 13/16 au Centre Pompidou. Pendant 6 jours, j’ai proposé aux adolescents de réaliser des fresques inspirées de « La Dame à la Licorne », ensemble de tapisseries mythiques datant de la fin du 15ème siècle. Nous avons réinterprété 3 de ces tapisseries avec des matériaux récurrents dans ma pratique: les pâtes alimentaires et les petits soldats en plastique. L’idée de ce projet était de permettre aux adolescents de venir à la rencontre de ma pratique et de l’expérimenter en direct. 

 

Les Oiseaux de Passage

Oiseaux en plastique, roseaux

Installation réalisée dans le cadre des Rencontres du Land Art et de la Ville à Paris en novembre 2013.

700 oiseaux installés sur des roseaux ont été plantés en groupe dans le jardin Ferdinand Bruno. Les tuteurs se fondent dans le décor, tandis que les oiseaux, très colorés, se voient de loin et semblent en mouvement. Les oiseaux en plastiques et leurs couleurs acidulées évoquent l’urbanisation, la ville où la nature reprend ses droits. Ils font échos aux couleurs vives des feuilles d’automne et des fleurs de saison plantées sans le jardin. Ici, on voit que finalement, ville et nature font bon ménage, tant que la première laisse la deuxième exister.

Ces oiseaux là sont de passage dans le square, ils semblent sur le point de s’envoler. Les passants sont invités à prendre un oiseau pour le faire migrer et le replanter où ils le souhaitent tout en m'enovyant une photo de leur oiseau replanté.

Les photo envoyées sont compilées sur le Tumblr emmanuelleroy.tumblr.com

 

Fresques

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